Neymar et Donnarumma auraient un accrochage dans le vestiaire juste après l’élimination du Paris Saint-Germain par le Real Madrid en huitième de finale de la Ligue des champions.
Selon la presse espagnole, Neymar et Gianluigi Donnarumma ont dû être séparés après un début d’altercation dans le vestiaire du PSG après l’élimination face au Real Madrid en 8e de finale de la Ligue des champions.
Une grosse tension régnait dans le vestiaire parisien après l’invraisemblable Real-PSG (3-1), mercredi en 8e de finale retour de la Ligue des champions. Selon Marca, Gianluigi Donnarumma et Neymar se seraient accrochés après le coup de sifflet final. Le ton serait monté entre les deux hommes qui auraient presque failli en venir aux mains avant d’être séparés par leurs coéquipiers.
Benzema : « Donnarumma ? y a rien, il aurait dû dégager le ballon »
Neymar reproche le premier but à Donnarumma… qui lui reproche le deuxième
Tout serait parti d’un reproche formulé par le Brésilien en direction du gardien italien pour sa perte de balle à l’origine du but de l’égalisation. Pressé par Karim Benzema après un mauvais contrôle, l’ancien joueur de Milan a manqué son dégagement en dévissant vers Vinicius qui a ensuite servi l’attaquant français pour son premier but.
Mais Donnarumma ne s’est pas laissé faire. Il aurait aussi rappelé au Brésilien qu’il était à l’origine du deuxième but madrilène en perdant le ballon dans le camp adverse sur une passe mal ajustée. Les choses se sont envenimées entre les deux protagonistes, finalement invités à rester à bonne distance par leurs partenaires.
Ce ne fut pas le seul moment de tension de la soirée parisienne. Selon les informations de RMC Sport, Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, s’est rendu auprès des arbitres au terme de la rencontre pour avoir des explications sur ce qu’il estime être une faute de Karim Benzema non-sifflée sur Gianluigi Donnarumma sur l’égalisation madrilène. Mauricio Pochettino, entraîneur parisien, estime aussi que l’arbitre aurait dû siffler. Le Français assure, lui, qu’il n’y a « pas du tout » faute.